Castellucci met en scène l’aliénation du Nouveau Monde

Castellucci met en scène l’aliénation du Nouveau Monde

Créée au théâtre de Vidy, donnée pour la première fois en France au Printemps des Comédiens, Democracy in America de Romeo Castellucci s’inspire librement de Tocqueville. La pièce brosse le destin d’un couple de Puritains dont la foi chevillée au corps, se lie à l’âpreté du 

L’épure de Satoshi Miyagi sublime Antigone

L’épure de Satoshi Miyagi sublime Antigone

Alors que tombe le crépuscule sur la cour d’honneur du Palais des Papes, une dizaine d’acteurs en toges blanche évoluent lentement à la surface de l’eau. Ils portent une minuscule lanterne, entre leurs mains jointes, façon procession. Cette vision fantasmagorique procurée grâce à un bassin 

Les restes balbutient sur scène

Les restes balbutient sur scène

La pièce Les Restes se conforme aux codes du théâtre contemporain. Elle consiste en une succession de saynètes qui ne semblent pas relier par un récit linéaire. Les comédiens jouent sur le langage, entre allitérations et confusion des styles soutenus ou familiers. C’est selon. C’est la mode. 

Les bas fonds émergent au Printemps des Comédiens

Les bas fonds émergent au Printemps des Comédiens

Une société des marges, de la misère et de la révolte exprime un théâtre politique lors de la 31ème édition du Printemps des Comédiens. Eric Lacascade adapte l’écrivain russe Maxime Gorkiavec avec  Les bas-fonds. Cette pièce, jouée en plein air dans l’amphithéâtre d’O à Montpellier, fait écho à 

Jean-Claude Carrière s’empare du Mahabharata

Jean-Claude Carrière s’empare du Mahabharata

La voix chaude et envoûtante de Jean-Claude Carrière a bercé le public du Printemps des Comédiens à Montpellier, samedi 3 juin. Cet illustre natif de la grande Occitanie a fait résonner son timbre dans le théâtre qui porte son nom. Devant des spectateurs conquis, l’homme de 

Rasposo dévore le chapiteau

Rasposo dévore le chapiteau

C’est au son de percussions que les spectateurs pénètrent sous le chapiteau de la compagnie Rasposo, pour la représentation de La Dévorée. L’atmosphère est sombre, autour de la petite scène circulaire où trois circassiennes se tiennent debout, une bougie fixée au sommet du crâne, sur 

Une Chambre en Inde : Mnouchkine conjure le chaos

Une Chambre en Inde : Mnouchkine conjure le chaos

Le théâtre peut-il guérir le monde ? A minima, peut-il aider à surmonter la cruauté des heures les plus noires de notre société contemporaine ? C’est l’interrogation qui traverse Une Chambre en Inde, durant près de quatre heures, au théâtre Jean Claude Carrière dans le